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Il évalue les déterminants de la condition physique, c’est-à-dire les caractéristiques des personnes dont leur matière corporelle, leur aptitude aérobie ( fréquence cardiaque et tension artérielle au repos et à l’exercice ), leur aptitude musculosquelettique ( force, endurance, puissance, équilibre et position ), leur flexibilité, les facteurs de risque de maladies cardiovasculaires et leurs habitudes de vie ( nutrition, sommeil, tabagisme, etc. ). Il élabore des programmes d’entraînement physique spécifiques et adaptés aux besoins des différents clients accélérant la régulation et l’amélioration de la forme. Il inventé des exercices physiques et des activités qui sont efficaces et sécuritaires en lien avec l’estimation de la condition physique. Il fait un suivi périodique des programmes avec ses clients.
Que ce soit après une blessure ou après le traitement du physiothérapeute, le kinésiologue va se faire une idée de la capacité de mouvement et la condition physique de son client, pour ensuite lui apprendre des exercices adaptés. En déterminant, par exemple, quel changement la personne est en mesure de faire et ses limitations, le kinésiologue identifiera le plan d’entrainement idéal. L’objectif peut être d’adapter l’environnement ou de réduire les barrières physiques et psychologiques pour que la personne puisse reprendre une activité sportive ou de loisir. Ainsi, beaucoup de personnes dans les salles d’entrainement consultent un kinésiologue pour parler de leurs inquiétudes ou de leurs craintes de se blesser en relevant l’exercice. C’est ainsi que les volets de la prévention et d’éducation sont impliqués. Un kinésiologue avec de l’expérience aidera sa clientèle à mieux maîtriser les principes d’entrainement et leur enseignera comment recevoir une parfaite exécution motrice pour éviter les blessures.
Certains mouvements du corps peuvent stimuler l’écoute, la lecture, l’assimilation, la mémorisation… Et aussi permettre d’évacuer le stress avant un examen. Avec la Brain Gym, vous aidez vos neurones à travailler ! Le chercheur Paul Dennison, propose donc d’utiliser le corps afin de apprendre. Voici les déplacements tirés de l’ouvrage ‘ Brain Gym, le changement, clé de l’apprentissage ‘ de Paul et Gail Dennison. Précisons qu’ils peuvent aider des de tout âge : enfants, adolescents, élèves mais aussi hommes et femmes… Ne vous dites donc pas qu’ils sont trop simples, testez… Ce commun éducatif a mis au point 26 déplacements simples qui ont chacun leurs bénéfices. Certains aident à canaliser à l’extérieur les tensions pour mieux se focaliser. D’autres avantagent l’assimilation et la mise en mémoire en boostant les deux hémisphères du cerveau, d’autres encore peuvent aider à mieux parcourir ou à équilibrer les émotions…
Plus tard chez l’enfant ou l’adulte, ces mémoires inconscientes peuvent être réactivées à l’appel d’événements qui entrent en résonance avec elles. Plus tard, chez l’enfant ou l’adulte, cette empreinte, ces mémoires inconscientes peuvent se exprimer dans le présent ( scolarité, carrière, relations aux autres… ). L’objectif est de prendre conscience de ces schémas et de réduire le stress associé à ceux ci. Retrouver le moment d’un stress in utero et ( re ) connaitre les interprétations fœtales, avec quelques fois la compréhension des besoins familiales, permet à la personne ou au enfant d’aborder sa vie autrement. Les périodes que sont l’élaboration, la vie utérine, la naissance, peuvent être des instants de changement stressant et l’objectif est de dégager les stress qui peuvent avoir été enregistrés.
THREE IN ONE CONCEPTS veut dire l’implémentation du corps du mental et de la finesse.. Cette technique a pour but de déterminer et de corriger les blocages énergétiques tels qu’ils se manifestent dans le présent, tant au niveau physique que psychique, afin de libérer l’esprit de systèmes de croyances conditionnés qui limitent notre perception dans tous les domaines de la vie. Quelques mots de Gordon Stokes, concepteur de ‘ THREE IN ONE CONCEPTS ‘ : ‘ Pour raccourcir la nature de ce que nous faisons : nous désamorçons les émotions du passé qui bloquent les perceptions du présent : si l’on ne désamorce pas les causes du problème dans le passé, aucune mesure prise dans le présent ne survit au prochain stress similaire ‘. Notre préoccupation première va vers ce que la plupart des personnes appellent les troubles de l’apprentissage ou «dyslexie». Mais nous étendons la définition usuelle de la dyslexie au-delà des handicaps d’apprentissage au niveau scolaire pour inclure tout «point aveugle» de nature émotionnelle causé par le stress de la véracité elle-même. Un blocage émotionnel égale un blocage énergétique dans le corps, et un blocage énergétique fait surface de bien des méthodes, y compris sous forme de problèmes et de douleurs physiques.
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